Olivier Sillig

Revue de presse

Skoda (Buchet Chastel, 2011)

La Cire perdue (Bernard Campiche Éditeur, 2009)

Lyon, simple filature (Encre fraîche 2008)

Deux bons bougres (Encre fraîche 2006)

Je dis tue à tous ceux que j'aime (Éditions H&O, 2005)

La Marche du Loup  (Encre Fraiche, 2004)

Bzjeurd  (L'Atalante 1995, Folio 2000)

Généralités

 


 

Skoda

Revue de presse partielle, ordre chronologique :

             Extraits, liens sur les articles complets, en cours :

 

Modes et travaux, septembre 2011: Une sorte de fable réaliste qui touche la vérité du doigt. Olivier Sillig y met beaucoup de chaleur et d’espoir.

Le Monde des Livres, Philippe-Jean Catinchi, 26 août 2011 : Juste le récit d'un acte d'amour sans concession dont le pari tient l'homme debout.

La Libre Belgique, 22 août 2011 :  Il signe avec "Skoda" un (très) court roman à l’écriture nue. Mais saisissante. (Fr.M.)

Le Temps, Isabelle Rüf, Samedi Culturel du 3 septembre 2011 : Ici, avec peu de mots, il a écrit son livre le plus fort.

Le Courrier, Anne Pitteloud, 3 septembre 2011: Cette extrême sobriété du style reflète aussi l’urgence qui habite son personnage – rien d’inutile ici, aucune fioriture: survivre exige de se concentrer sur l’essentiel.

Vigousse, le 2 septembre 2011 : Dans Skoda, le Lausannois Olivier Sillig signe un court roman qui prend aux tripes. La fin est superbe, le reste n'est pas mal non plus (B.L.).

L’Hebdo no 36, Julien Burri, 7 septembre 2011 : Ce livre très émouvant donne à ressentir les corps, les bruits, les odeurs, sans pathos. Sillig n’a jamais été aussi bon que dans cette forme épurée. La folie de la guerre y est donnée à voir par des images saisissantes, comme le final, très cinématographique.

Le Nouvel Observateur,  Claire Juillard,  8 SEPTEMBRE 2011 - n° 2444 :  Un conte poignant zébré d'éclairs lumineux.

 

La Liberté, Jacques Sterchi, 10 septembre 2011 : On n'accusera pas l'écrivain vaudois d'exercice de style, mais l'on regrettera quand même un manque d'ardeur dans l'écriture. Tout cela reste bien poli.

Le Culturactif, Elisabet Vust, 16 septembre 2011 : Une fable sur la guerre dans notre monde. En Europe ou ailleurs. L’absurdité et l’horreur du quotidien. Contrebalancées par la beauté du lien qui se crée entre l’homme et l’enfant. La vie contre la mort.

 

La Croix, Corinne Renou-Nativel, 10 novembre 2011 : Les dernières pages donnent au récit l'allure d'une fable et confèrent tout son sens à ce texte percutant et efficace.

Radios et télévisons :

RSR1, Devine qui vient diner, 28 août 2011
Radios francophones, La librairie Francophone, 3 septembre 2011
RSR2, Zone Critique, 9 septembre 2011
RSR2, Entre les Lignes, 26 septembre 2011

FR2, Telematin du 8 novembre 2011 : Il y a des moments d’un humour absolument exquis […] et la fin est absolument délicieuse. (sic)


Blogs :

Les blogs sur  Skoda


 


La Cire perdue

Revue de presse la plus exhaustive possible, ordre chronologique :
             Extraits, liens sur les articles complets:

LE PHARE, centre culturel suisse – paris, No 2 (mai – sptembre 2009), Isabelle Rüf : Certainement son livre le plus ample et le plus abouti.

RSR2 - Lectures croisées - 07-05-20 (extrait sonore .wav) : Inclassable ? Non, classable dans les mauvais romans de la saison (Sylvie Tanette) (lien sur le site RSR2).

La Liberté, Jacques Sterchi, 6 juin 2009 (repris par Le Courrier du 27 juin):  La Cire perdue est un conte qui se lit avant tout dans une sorte de joyeuse hallucination.

Le Temps, Eléonore Sulzer, samedi culturel du 21 juin 2009 : Roman épique, roman d’apprentissage, conte humaniste, La Cire perdue d’Olivier Sillig se nourrit de tout cela.


Lyon, simple filature

Revue de presse la plus exhaustive possible, ordre chronologique :
            Extraits, liens sur les articles complets:

  DAUPHINÉ LIBÉRÉ, Livres, Thierry Hubert, 26 mai 2008  : Cette enquête autour de l'absence, c'est presque la matrice ou l'épure du roman policier, mais aussi l' exploration sensible des détresses de l'enfance.

Radio Suisse Romande 2, 29 mai 2008, Jean-Louis Kuffer chez Louis-Philippe Ruffy, Entre les lignes : Oui, c'est un roman improbable. Improbable comme la vie!

Le Temps, Samedi Culturel du 31 mai 2008 : Olivier Sillig signe un texte doux et attachant.

 Le Cri du Hibou No 12, été 2009 (Prix Bibliomedia) : Une histoire sensible, une trame très crédible et une grande humanité dans la description des personnages.


Deux bons bougres

Revue de presse la plus exhaustive possible, ordre chronologique :


Extraits, liens sur les articles complets:

24 Heures, mardi 13 juin 2006 :  C'est comme si Sillig, toujours émerveillé par les romans d'aventure qu'il lisait enfant, avait décidé de les réécrire, de les «corriger» pour qu'ils s'approchent au plus près de la vie. Cela suffit-il à donner de l'épaisseur à son récit?


Je dis tue à tous ceux que j'aime

Revue de presse la plus exhaustive possible, ordre chronologique :

Extraits, liens sur les articles complets:

   Webzine, 8 mars 2005 : Difficile de dire "génial", impossible de dire "j'aime pas", la seule chose certaine dans cette histoire, c'est qu'on lit d'une traite "Je dis tue à tous ceux que j'aime"!

Fugues magazine 30.03.2005, Benoît Migneault : Un roman surréaliste et déstabilisant qui pique la curiosité du lecteur...

   Le Temps, Jeudi 14 avril 2005 /  Bouquet garni, Isabelle Rüf : Un récit moins poétique que les précédents mais tout aussi étrange.

   Dauphiné libéré, 18 avril 2005 / Livres, Thierry Hubert : Un beau roman à lire peut-être dans la salle d’attente d’une gare routière, dans l’ombre jaune d’un éclairage artificiel là où la vie se ramasse sur elle-même.

Le Culturactif, mais 2005, le livre du moi, critique, Francesco Biamonte : Excellent livre que le troisième roman d'Olivier Sillig. L'intrigue est relativement simple, le nombre de personnages restreint, le style simple et précis. [...] Entre roman d'amour, polar, nouvelle fantastique et conte moral.

24 Heures, samedi 16 avril 2005, Un conteur dans les marges, Jean-Louis Kuffer : Polar aux dehors de rêve éveillé, roman d'un impossible amour, nouvelle variation sur le thème ancien du double sacrifié: il y a de tout ça dans ce roman trouble et pur d'un auteur à surveiller…

LE PASSE-MURAILLE - No 68 Août 2005: Si la première partie fascine, tisse une atmosphère envoûtante, ambiguë, où tous les possibles restent ouverts, la deuxième n'échappe pas à un voyeurisme cru et sans épaisseur...

Télévision suisse romande, TSR2 4 décembre 2005, Sang d'Encre, sélection du Prix TSR du roman, Florence Heiniger, présentation et vidéo  : interrogeant manipulation et crime, cette fable « Je dis tue à tous ceux que j'aime » est un transbordement vers d'autres choix existenciels...

Forum de Prix TSR : ... Tout compte fait, un très bon roman. Parole de lectrice qui n'aime ni la science fiction, ni la BD, ni le huis clos. (Anne-Marie)

Le Temps, Samedi culturel, samedi 22 avril 2006, le choix du libraire Le livre de l'écrivain lausannois Olivier Sillig est une fable, un chemin initiatique parsemé d'embûches d'un homme à la découverte de lui-même.


La Marche du Loup

Revue de presse la plus exhaustive possible, ordre chronologique :


Extraits, liens sur les articles complets:

  Radio Suisse Romande, 16 novembre 2004, Isabelle Ruf, Cafe des arts : L'écriture, fait de phrases brèves, souvent sans verbes, imprime un rythme qui tient véritablement en haleine.

Radio Suisse Romande 2, 17 novembre 2004, Louis-Philippe Ruffy, Entre les lignes : La Marche du loup sait entremêler le quotidien et la fable, pour nous placer à la frontière de nos semblables.

Dauphiné Libéré, 20.11.2004 / rubrique LIVRES, Thierry Hubert : Olivier Sillig connaît les chemins qui nous ramènent à l’essentiel, sans détours.  

   Le Temps, Samedi culturel, 4 décembre 2004 / Retour à l'an mil, Isabelle Rüf : Après avoir mené son récit à toute allure, il boucle le cercle de la guerre et des meurtres en laissant entrevoir une petite lueur d'apaisement dans l'égarement des hommes.

  24 Heures, 10 décembre 2004 / Mon Choix, Claire Philippe, J.-L. K.  : Il y a du roman d’aventures échevelé, et de la fable aussi, dans ce livre captivant du Lausannois Olivier Sillig.

24 Heures, jeudi 30 décembre 2004 / Encre Fraîche ravive la SF romande, Jean-François Thomas : La marche du loup par son rythme lancinant, la musique de ses mots, les événements bizarres qui le parsèment appartient ouvertement au registre des récits fantastiques. Un livre envoûtant.

  Le Passe-muraille, No 63, janvier 2005 / Main-courante (PYL) : Une espèce de faux picaresque car sans discours, sans morale (presque), sans dérision, minimaliste...

Télévision Suisse Romande, 27 février 2005 Sang D'Encre, Sélection du Prix TSR du roman, Florence Heiniger, vidéo : ...magnifique conte cruel d'un enfant loup dans un univers barbare, illuminé de merveilleux.

  Courriels : Puis… miracle ! Olivier Sillig réussit contre toute attente à nous installer au cœur de cette histoire abracadabrante.

  Le Matin, 29 avril 2005, Florence Heiniger interviewée par Aimé Corbaz : Le livre que vous auriez voulu écrire? «Les bébés...» Ou «La marche du loup» d'Olivier Sillig. C'est un conte cruel, un roman qui se passe en l'an mille. C'est une sorte de barbarie humaine, une histoire entre des enfants et des loups sur fond de pillages, de beuveries, de viols. J'aurais aimé écrire ce roman qui parle de l'égarement des hommes, de l'instinct de survie. On parle d'hommes à la guerre, de femmes en détresse. C'est beau.

 


 Bzjeurd

Revue de presse, extraits :

1995  Éditions à L'Atalante

Le Dauphiné-libéré, Thierry Hubert, 3 avril 1995:
Nous émergeons de ce livre comme un plongeur des eaux profondes, avec pour longtemps en mémoire la vision de merveilles et d'épouvantes.

Magazine littéraire, Philippe Curval, no 332, mai 1995:
Auteur minimaliste, Sillig nous séduit d'emblée par son épopée esthétique.

À SUIVRE, J.W., no 208, mai 1995:
Ce livre au ton inhabituel est servi par une écriture froide et distanciée, et témoigne d'une maîtrise étonnante.

La Recherche, Michel Pebereau, no 276:
Un monde original, étrange, et à vrai dire assez angoissant.

L'année de la fiction 1995:
Dès son premier roman, Sillig atteint une maturité d'écriture qui la place haut.

Le Matin, Pascal Busset, 8 juin 1995:
" Bzjeurd " est un livre haletant, une odyssée solitaire dans un paysage de chaos, hallucinant.

24HEURES et TRIBUNE DE GENÈVE, Jean-François Thomas , 24-25 juin 1995:
Olivier Sillig réussit là, avec son premier roman, une oeuvre de SF étrange et forte.

2000  Édition en Folio

Magazine littéraire, Philippe Curval, no 392, novembre 2000:
Folio folies [...] A l'opposé de ce monument classique, le numéro 26 de la collection propose Bzjeurd, d'Olivier Sillig, dont j'ai déjà dit ici tout le bien que je pensais. Cette oeuvre étrange pousse jusqu'au dépaysement total le questionnement sur la vraisemblance du réel, fonds de pension de la science-fiction moderne.

24HEURES,  Jean-François Thomas, 27 novembre 2000:
Parmi les  livres retenus à l'Atalante, c'est le  cas   de  l'insolite  Bzjeurd  du  Suisse Olivier Sillig,  récit de vengeance déroutant dans  un décor  boueux à  souhait, servi  par une   écriture   originale.

LE TEMPS, Nicolas Dufour, 17 février 2001:
même les lecteurs les plus récalcitrants aux atmosphères de fantasy se laisseront envoûter par cette remarquable écriture, tout à la fois précise et éthérée, mise au service d'un univers dont l'auteur trace avec talent les lignes de fuites.

  


Généralités

Olivier Sillig

Revue de presse :

Le Portrait, 24 Heures, Jean-Louis Kuffer, 14 décembre 2009  : Jusqu’à sa façon d’esquiver toute explication «logique», le conteur se montre fidèle à lui-même, slalomant entre émotions fortes et aventures révélatrices, érotisme et transgression, courts-métrages ancrés dans notre temps et récits fantastiques.


Courriel de l'auteur:  olivier.sillig@users.ch

H-page de l'auteur:   http://www.perso.ch/olivier.sillig

V: 08.03.2012 (V0: 08.08.2005)